Face à l’urgence climatique, de plus en plus de consommateurs tentent de limiter leur impact en prêtant notamment attention à l’origine géographique des produits qu’ils achètent, avec comme idée directrice que plus un article provient de loin, plus son transport pollue. Un raisonnement correct… qui ne colle pourtant pas toujours à la réalité complexe, voire paradoxale du fonctionnement de notre économie mondialisée.
