Les certifications durables dans le secteur du cacao
Cette présentation donne un aperçu des avantages et des inconvénients des certifications Fairtrade, Utz et Rainforest Alliance dans le secteur du cacao.
Cette présentation donne un aperçu des avantages et des inconvénients des certifications Fairtrade, Utz et Rainforest Alliance dans le secteur du cacao.
Le 5 décembre, à la veille de la Saint-Nicolas, plusieurs représentants de l’industrie chocolatière, de la grande distribution et de la société civile ont conclu le partenariat « Beyond Chocolate » dans le but de produire, d’ici 2025, du chocolat belge 100 % durable et d’assurer, d’ici 2030, aux producteurs de cacao un revenu leur permettant de vivre décemment. Enabel aussi s’engage concrètement dans le partenariat par le biais du Trade for Development Centre (TDC).
Le vendredi 5 octobre, une trentaine de personnes : chocolatiers, bénévoles Oxfam, représentants de la Province de Luxembourg et des Communes du commerce équitable de la région, se sont rendues à Bruges, autoproclamée capitale du commerce équitable et du chocolat
Le Trade for Development Centre (TDC) et Fairtrade Africa, en partenariat avec Euromonitor International, ont souhaité mieux comprendre le marché des boissons chaudes vendues à la fois en B2B (dans la restauration et les institutions) et en B2C (dans la distribution) et cerner le potentiel commercial des marques de boissons chaudes certifiées Fairtrade au Kenya et en Afrique de l’Est.
Ces dernières années, les études attestant que les producteurs de cacao de Côte d’Ivoire vivent dans la misère s’accumulent : 0,86 euros, environ 1 dollar par jour, c’est ce qu’ils gagnent selon Barry-Callebaut et l’Agence française de développement[1]. Des revenus qui les maintiennent en dessous du seuil de pauvreté[2], avec pour corollaire, pour s’en sortir : le travail d’enfants et une déforestation galopante (la productivité des terres défrichées requérant moins de main d’œuvre les premières années).
Un projet pilote appuyé par le Trade for Development Centre permet à la Coopara de centraliser la fermentation et le contrôle de qualité de son cacao. Avec pour résultats : 70% de cacao de grade 1, le marché de Nestlé à portée de main et l’intérêt de Belvas, producteur belge de chocolat bio et équitable.
Pointés du doigt suite au scandale du travail d’enfants et aux très faibles prix payés aux producteurs, les grandes entreprises du secteur du cacao et du chocolat ont pris des initiatives pour améliorer la durabilité de l’industrie. Qu’en est-il aujourd’hui, surtout après une forte diminution l’an dernier du prix du cacao sur le marché mondial ?
Par ailleurs, en dépit de ces conditions de marché difficiles, des coopératives optent résolument pour une production durable. Vingt d’entre elles bénéficient d’un appui du Trade for Development Centre (TDC). Afin de mettre en lumière leur travail, nous nous sommes rendus non seulement au Ghana et en Côte d’Ivoire, mais aussi en Bolivie et au Vietnam.
Bruges est la première ville au monde à lancer sa propre barre de chocolat équitable, baptisée Sjokla (ainsi que se prononce le mot « chocolat » en Flandre occidentale). Ce faisant, la ville, où sont installés de nombreux chocolatiers, combine artisanat local et chocolat équitable. La barre chocolatée est en outre fabriquée à base d’ingrédients locaux.
La certification équitable devrait faciliter l’entrée du cacao vietnamien sur le marché européen, et ce, en particulier après l’entrée en vigueur en 2019 de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Vietnam, assurent des experts.
La demande croissante de chocolat noir sur le marché européen est une véritable aubaine pour le Pérou: nombre de petits producteurs y produisent des fèves de cacao de qualité.
Partant de ce constat, le TDC a décidé d’accompagner certaines coopératives cacaotières notamment afin d’améliorer la qualité de leur production faisant du Pérou un incontournable fournisseur de cacao haut de gamme.
Cette présentation donne un aperçu des avantages et des inconvénients des certifications Fairtrade, Utz et Rainforest Alliance dans le secteur du cacao.
Le 5 décembre, à la veille de la Saint-Nicolas, plusieurs représentants de l’industrie chocolatière, de la grande distribution et de la société civile ont conclu le partenariat « Beyond Chocolate » dans le but de produire, d’ici 2025, du chocolat belge 100 % durable et d’assurer, d’ici 2030, aux producteurs de cacao un revenu leur permettant de vivre décemment. Enabel aussi s’engage concrètement dans le partenariat par le biais du Trade for Development Centre (TDC).
Le vendredi 5 octobre, une trentaine de personnes : chocolatiers, bénévoles Oxfam, représentants de la Province de Luxembourg et des Communes du commerce équitable de la région, se sont rendues à Bruges, autoproclamée capitale du commerce équitable et du chocolat
Le Trade for Development Centre (TDC) et Fairtrade Africa, en partenariat avec Euromonitor International, ont souhaité mieux comprendre le marché des boissons chaudes vendues à la fois en B2B (dans la restauration et les institutions) et en B2C (dans la distribution) et cerner le potentiel commercial des marques de boissons chaudes certifiées Fairtrade au Kenya et en Afrique de l’Est.
Ces dernières années, les études attestant que les producteurs de cacao de Côte d’Ivoire vivent dans la misère s’accumulent : 0,86 euros, environ 1 dollar par jour, c’est ce qu’ils gagnent selon Barry-Callebaut et l’Agence française de développement[1]. Des revenus qui les maintiennent en dessous du seuil de pauvreté[2], avec pour corollaire, pour s’en sortir : le travail d’enfants et une déforestation galopante (la productivité des terres défrichées requérant moins de main d’œuvre les premières années).
Un projet pilote appuyé par le Trade for Development Centre permet à la Coopara de centraliser la fermentation et le contrôle de qualité de son cacao. Avec pour résultats : 70% de cacao de grade 1, le marché de Nestlé à portée de main et l’intérêt de Belvas, producteur belge de chocolat bio et équitable.
Pointés du doigt suite au scandale du travail d’enfants et aux très faibles prix payés aux producteurs, les grandes entreprises du secteur du cacao et du chocolat ont pris des initiatives pour améliorer la durabilité de l’industrie. Qu’en est-il aujourd’hui, surtout après une forte diminution l’an dernier du prix du cacao sur le marché mondial ?
Par ailleurs, en dépit de ces conditions de marché difficiles, des coopératives optent résolument pour une production durable. Vingt d’entre elles bénéficient d’un appui du Trade for Development Centre (TDC). Afin de mettre en lumière leur travail, nous nous sommes rendus non seulement au Ghana et en Côte d’Ivoire, mais aussi en Bolivie et au Vietnam.
Bruges est la première ville au monde à lancer sa propre barre de chocolat équitable, baptisée Sjokla (ainsi que se prononce le mot « chocolat » en Flandre occidentale). Ce faisant, la ville, où sont installés de nombreux chocolatiers, combine artisanat local et chocolat équitable. La barre chocolatée est en outre fabriquée à base d’ingrédients locaux.
La certification équitable devrait faciliter l’entrée du cacao vietnamien sur le marché européen, et ce, en particulier après l’entrée en vigueur en 2019 de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Vietnam, assurent des experts.
La demande croissante de chocolat noir sur le marché européen est une véritable aubaine pour le Pérou: nombre de petits producteurs y produisent des fèves de cacao de qualité.
Partant de ce constat, le TDC a décidé d’accompagner certaines coopératives cacaotières notamment afin d’améliorer la qualité de leur production faisant du Pérou un incontournable fournisseur de cacao haut de gamme.