Baskets éthiques
Les marques de chaussures qui prétendent être justes et / ou écologiques sont devenues de plus en plus courantes ces dernières années. Certaines marques sont même devenues des acteurs majeurs sur celui-ci
Les marques de chaussures qui prétendent être justes et / ou écologiques sont devenues de plus en plus courantes ces dernières années. Certaines marques sont même devenues des acteurs majeurs sur celui-ci
Pour Sandra Rothenberger, professeure de marketing à Solvay Brussels School, les baskets éthiques devraient suivre la même trajectoire que celle de l’alimentation biologique, en plus rapide.
Situé en plein cœur du quartier des Sablons, BeFre a déménagé depuis peu de l’ancien Palais du vin de style Art déco, les Ateliers des Tanneurs. Depuis 2007, BeFre s’investit dans la durabilité et l’écologie en se spécialisant dans la fabrication de sacs et d’emballages réutilisables personnalisés.
Après vingt ans de sensibilisation par la Clean Clothes Campaign, la notion de « vêtements propres », est devenue bien plus qu’un simple slogan. De petites initiatives sont 100% fair trade, mais de plus en plus de grandes marques rendent aussi leur production plus éthique, du moins en partie.
L’atelier d’impression textile ACP, qui propose des vêtements équitables promotionnels et de travail, ressent clairement une hausse tant de l’offre que de l’intérêt pour des vêtements durables. Toutefois, même si « bon nombre de clients s’informent sur le choix le plus durable, au moment de prendre la décision finale, même les organisations les plus engagées optent pour le produit le meilleur marché, ce qui, pour nous, s’avère parfois extrêmement frustrant », nous confie le directeur Dirk Piret.
Jules Clarysse s’est lancé dans la production de textile de bain à très petite échelle il y a plus de 70 ans déjà. Avec une production annuelle de 20 millions de serviettes de bain, dont 20 % d’équitables en 2014, Clarysse NV est aujourd’hui le chef de file du marché européen. Même durant la crise, Clarysse a continué à s’investir et à investir dans la durabilité.
L’effondrement, le 24 avril 2013, des six étages de l’immeuble Rana Plaza dans un faubourg industriel de la ville de Dacca a coûté la vie à 1.138 ouvriers du textile bangladais, ensevelis sous des tonnes de gravats et de vêtements destinés au marché européen et américain. Cette catastrophe industrielle, la deuxième plus importante en Asie après Bhopal, a mis en évidence non seulement les vices de construction du bâtiment, mais aussi le nivellement par le bas qui caractérise la filière textile et qui a, cette fois, entraîné mort d’homme. Quelle est, 18 mois plus tard, la position des autorités, des entreprises, des syndicats et des ONG ? Le consommateur a-t-il des alternatives durables ?
Il y a cinq ans, Nancy De Poorter ouvrait une boutique de cadeaux assortie d’une boutique en ligne à Zammel, à proximité de Geel. C’est lors de son travail comme volontaire dans le Wereldwinkel de Westerlo, axé plutôt sur l’alimentation, qu’elle se découvre une passion pour les cadeaux produits de façon équitable. Meer dan Mooi a connu une évolution assez rapide pour passer d’un magasin de ventes de cadeaux équitables et d’objets de décoration intérieure à une boutique de vêtements équitables où l’aspect bio prend aussi toute son importance.
Le Kenya et la Tanzanie disposent tous deux d’accessoires de mode et d’objets de décoration artisanaux de grande qualité et au design unique. Suite au développement de la classe moyenne et à la demande croissante pour ces produits, le Trade for Development Centre a fait réaliser une étude.
Le Trade for Development Centre a fait réaliser une étude de marché sur le secteur de l’artisanat en Tanzanie, afin de collecter des données dont pourront se servir les organisations de producteurs pour formuler leur stratégie commerciale et développer plus avant leurs activités. L’étude s’est intéressée aux aspects suivants : tendances, profils des clients, concurrence, points de vente et chaînes commerciales, estimations globales des marchés.
Les marques de chaussures qui prétendent être justes et / ou écologiques sont devenues de plus en plus courantes ces dernières années. Certaines marques sont même devenues des acteurs majeurs sur celui-ci
Pour Sandra Rothenberger, professeure de marketing à Solvay Brussels School, les baskets éthiques devraient suivre la même trajectoire que celle de l’alimentation biologique, en plus rapide.
Situé en plein cœur du quartier des Sablons, BeFre a déménagé depuis peu de l’ancien Palais du vin de style Art déco, les Ateliers des Tanneurs. Depuis 2007, BeFre s’investit dans la durabilité et l’écologie en se spécialisant dans la fabrication de sacs et d’emballages réutilisables personnalisés.
Après vingt ans de sensibilisation par la Clean Clothes Campaign, la notion de « vêtements propres », est devenue bien plus qu’un simple slogan. De petites initiatives sont 100% fair trade, mais de plus en plus de grandes marques rendent aussi leur production plus éthique, du moins en partie.
L’atelier d’impression textile ACP, qui propose des vêtements équitables promotionnels et de travail, ressent clairement une hausse tant de l’offre que de l’intérêt pour des vêtements durables. Toutefois, même si « bon nombre de clients s’informent sur le choix le plus durable, au moment de prendre la décision finale, même les organisations les plus engagées optent pour le produit le meilleur marché, ce qui, pour nous, s’avère parfois extrêmement frustrant », nous confie le directeur Dirk Piret.
Jules Clarysse s’est lancé dans la production de textile de bain à très petite échelle il y a plus de 70 ans déjà. Avec une production annuelle de 20 millions de serviettes de bain, dont 20 % d’équitables en 2014, Clarysse NV est aujourd’hui le chef de file du marché européen. Même durant la crise, Clarysse a continué à s’investir et à investir dans la durabilité.
L’effondrement, le 24 avril 2013, des six étages de l’immeuble Rana Plaza dans un faubourg industriel de la ville de Dacca a coûté la vie à 1.138 ouvriers du textile bangladais, ensevelis sous des tonnes de gravats et de vêtements destinés au marché européen et américain. Cette catastrophe industrielle, la deuxième plus importante en Asie après Bhopal, a mis en évidence non seulement les vices de construction du bâtiment, mais aussi le nivellement par le bas qui caractérise la filière textile et qui a, cette fois, entraîné mort d’homme. Quelle est, 18 mois plus tard, la position des autorités, des entreprises, des syndicats et des ONG ? Le consommateur a-t-il des alternatives durables ?
Il y a cinq ans, Nancy De Poorter ouvrait une boutique de cadeaux assortie d’une boutique en ligne à Zammel, à proximité de Geel. C’est lors de son travail comme volontaire dans le Wereldwinkel de Westerlo, axé plutôt sur l’alimentation, qu’elle se découvre une passion pour les cadeaux produits de façon équitable. Meer dan Mooi a connu une évolution assez rapide pour passer d’un magasin de ventes de cadeaux équitables et d’objets de décoration intérieure à une boutique de vêtements équitables où l’aspect bio prend aussi toute son importance.
Le Kenya et la Tanzanie disposent tous deux d’accessoires de mode et d’objets de décoration artisanaux de grande qualité et au design unique. Suite au développement de la classe moyenne et à la demande croissante pour ces produits, le Trade for Development Centre a fait réaliser une étude.
Le Trade for Development Centre a fait réaliser une étude de marché sur le secteur de l’artisanat en Tanzanie, afin de collecter des données dont pourront se servir les organisations de producteurs pour formuler leur stratégie commerciale et développer plus avant leurs activités. L’étude s’est intéressée aux aspects suivants : tendances, profils des clients, concurrence, points de vente et chaînes commerciales, estimations globales des marchés.